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from libertadmin

Liberta celebrated its fifth birthday at the end of November 2024, how time flies!

5 years of free and ethical services

What started as a simple public shared Nextcloud with Liberta Cloud grew very quickly, with COVID-19 serving as a catalyst in early 2020 with the teaching profession crisis.

Finding themselves in a pickle for the exercise of their profession (remember, the ENTs that no longer respond, the video conferences that crash, etc.?), Liberta had proceeded with the hasty launch of the Liberta Video platform based on the free software Peertube to accommodate the flow of destitute teachers and professors and it has never stopped growing since. Today, Liberta Video hosts more than 1 TB of videos and the remaining disk space is melting like snow in the sun... So donate, support!

Liberta's end-of-year gifts for you because why not

No communication for the 5 years or new online services because I have had very little time and energy for myself lately, no attachment to an official structure (I also have a lot of nice people to contact in return, my confused ones), in short everything remained in the boxes while I got back on my feet.

Nevertheless, a few gifts were distributed without anyone noticing a priori, and that's good.

Concerning the gifts for Liberta Cloud:

Following user requests, a new application was created: Memories! A new “Memories” tab now lets you organize, sort, and view your photos and videos in a much more enjoyable way, “like Google Photos”, with chronological sorting and a “memories” system, labeling, sorting by geolocation via location detection, etc., etc. A demo is available here to give you an idea: https://demo.memories.gallery/apps/memories/. The “classic” Photos app is still active, of course.

  • Accounts that were out of quota have had their storage space increased so that they are no longer out of quota, it's a gift, it's nice!

  • Accounts that were disabled for inactivity for over a year and that contained data have been extended

  • Accounts that were about to be automatically deleted have been granted a much longer grace period (losing data is not part of my job as a sysadmin!)

  • The memory allocated to Nextcloud has been increased to make browsing and the application more fluid

  • All accounts have had their thumbnails regenerated to speed up loading times

  • Nextcloud has been upgraded to Nextcloud Hub 8 (version 29)

Concerning the gifts for Liberta Video:

A Peertube runner is currently being deployed (this is important, read on) on a dedicated, powerful and autonomous physical machine

  • The transcoding of all new videos will therefore be transferred to this runner, which will relieve the Liberta Video platform of all the most memory- and computing-intensive tasks and therefore greatly speed up the platform's responses, which whether in video import time or in execution speed for video playback

  • This “runner” will also serve as “artificial intelligence” to make transcriptions and therefore automatically subtitle all your videos, or even translate them!

  • This “runner” will also be made available to the wider community of other Peertube platforms to transcode their videos remotely

  • And the new magnificent version 7.0 of Peertube of course! Thank you Framasoft! More info here: https://joinpeertube.org/fr/news/release-7.0

Liberta Mail, an encrypted e-mail service in preparation

What has been in the pipeline for a long time is starting to see the light of day: Liberta Mail (sounds of trumpets and cymbals in the background)!

Liberta Mail aims to provide an email service that will include:

  • 5 GB “@liberta.email” mailboxes, initially
  • native encryption of your email storage, only you will be able to consult your emails
  • A strong antispam that learns by itself with block lists of known spammers
  • management of “aliases”, these virtual mailboxes allowing you to hide your real address to:
    • protect you from spam
    • know if a particular site has leaked your information
    • keep your address confidential
  • increased and secure deliverability of your emails:
    • all technical standards have been activated and tested (for the jargon: TLS, SPF, DKIM, DMARC, strong and recent encryption algorithms (Argon2ID), TLS certificates, etc.)
    • your email headers cleaned of sensitive information
    • a limitation of simultaneous sendings to certain finicky email services
    • mail-tester gave liberta.email a “10 out of 10” rating

A few figures

  • Liberta Cloud: + 500 Cloud accounts, 1 TB
  • Liberta Video: almost 1000 accounts, + 4500 videos, 1.3 TB
  • Liberta Audio: + 2400 accounts, + 10400 tracks, 110 GB
  • Liberta Blogs: 34 blogs
  • Liberta Docs: 41 drives

Liberta's finances

Finances are not doing well! Liberta needs you more than ever, so support, donate, even 10 cents! To quote myself:

“[...] while it would be enough for each user to give 1 euro PER YEAR for Liberta to be resilient”

I am trying more and more to communicate in French AND in English, I will try to stick to it.

See you soon for new news even newer!

To contact me on Mastodon: https://piaille.fr/@appzer0, or by email: libertadmin AT liberta POINT vip

 
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from libertadmin

Liberta a soufflé sa cinquième bougie fin novembre 2024, comme le temps file !

5 ans de services libres et éthiques

Ce qui avait commencé par un simple Nextcloud mutualisé public avec Liberta Cloud a grandi très vite, la COVID-19 ayant servi de catalyseur début 2020 avec la crise du corps enseignant.

Se retrouvant dans la panade pour l'exercice de leur métier (vous vous souvenez, les ENT qui ne répondent plus, les visio qui plantent, etc. ?), Liberta avait procédé au lancement précipité de la plateforme Liberta Vidéo basée sur le logiciel libre Peertube pour accueillir le flux d'instituteur⋅ices et professeur⋅es démuni⋅es et ça n'a jamais cessé de grossir depuis. Aujourd'hui, Liberta Vidéo héberge plus d'1 To de vidéos et l'espace disque restant fond comme neige au soleil... Alors donnez, soutenez !

Les cadeaux de fin d'année de Liberta pour vous parce que pourquoi pas

Pas de communication pour les 5 ans ni de nouveaux services en ligne car j'ai eu très peu de temps et d'énergie pour moi dernièrement, pas de rattachement à une structure officielle (j'ai d'ailleurs beaucoup de gentils gens à contacter en retour, mes confuses à elleux), bref tout est resté dans les cartons le temps que je retombe sur mes pattes.

Néanmoins, quelques cadeaux ont été distribués sans que quiconque ne s'en rende compte à priori, et c'est tant mieux.

Concernant les cadeaux pour Liberta Cloud :

  • Suite à des demandes d'utilisateur⋅ices, une nouvelle application a vu le jour : Memories ! Un nouvel onglet « Souvenirs » vous permet maintenant d'organiser, trier, et consulter vos photos et vidéos de manière bien plus agréable, « à la Google Photos », avec un tri chronologique et un système de « souvenirs », de l'étiquetage, un tri par géolocalisation via une détection des lieux, etc., etc. Une démo est disponible ici pour vous faire une idée : https://demo.memories.gallery/apps/memories/. L'application Photos « classique » est toujours active, évidemment.
  • Les comptes qui étaient hors quota ont vu leur espace de stockage agrandi pour ne plus être hors quota, c'est cadeau, ça fait plaisir !
  • Les comptes qui étaient désactivés pour inactivité depuis plus d'un an et qui contenaient des données ont été prolongés
  • Les comptes sur le point d'être supprimés automatiquement ont bénéficié d'une période de grâce bien plus longue (perdre les données ne fait pas partie de mon métier de sysadmin !)
  • La mémoire allouée à Nextcloud a été augmentée pour fluidifier la navigation et la réactivité de l'application
  • Tous les comptes ont vu leurs vignettes régénérées pour accélérer les temps de chargement
  • Nextcloud a été mis à niveau en version Nextcloud Hub 8 (version 29)

Concernant les cadeaux pour Liberta Vidéo :

  • Un « runner » Peertube est en cours de déploiement (c'est important, lisez la suite) sur une machine physique dédiée, puissante et autonome
  • Le transcodage de toutes les nouvelles vidéos va donc être déporté sur ce « runner », ce qui va la soulager la plateforme Liberta Vidéo de toutes les tâches les plus gourmandes en mémoire et en puissance de calcul et doncgrandement accélérer les réponses de la plateforme, que ce soit en temps d'importation de vidéos ou en rapidité d'exécution pour la lectcure vidéo
  • Ce « runner » va également servir « d'intelligence artificielle » pour faire des transcriptions et donc sous-titrer toutes vos vidéos de manière automatique, voire les traduire !
  • Ce « runner » sera également mis à disposition de la communauté plus large d'autres plateformes Peertube pour transcoder leur vidéos à distance
  • Et la nouvelle magnifique version 7.0 de Peertube bien sûr ! Merci Framasoft ! Plus d'infos ici : https://joinpeertube.org/fr/news/release-7.0

Liberta Mail, un services d'e-mail chiffré en préparation

Ce qui était dans les cartons depuis bien longtemps commence à voir le jour : Liberta Mail (bruits de trompettes et de cymbales en arrière-plan) !

Liberta Mail ambitionne de fournir un service de courriel qui comprendra :

  • des boîtes mail en « @liberta.email » de 5 Go, dans un premier temps
  • un chiffrement natif du stockage de vos mails, seul⋅es vous pourrez consulter vos mails
  • Un antispam fort et qui apprend de lui-même avec listes de blocage des spammeurs connus
  • la gestion des « alias », ces boîtes mail virtuelles permettant de cacher votre véritables adresse pour :
    • vous protéger du spam
    • savoir si tel ou tel site a fait fuiter vos informations
    • conserver la confidentialité de votre adresse
  • une délivrabilité accrue et sécurisée de vos mails :
    • toutes les normes techniques ont été activées et testées (pour le jargon : TLS, SPF, DKIM, DMARC, algorithmes de chiffrement forts et récents (Argon2ID), certificats TLS, etc.)
    • les entêtes de vos mails nettoyées des informations sensibles
    • une limitation des envois simultanés vers certains services mails tâtillons
    • mail-tester a donné la note « 10 sur 10 » à liberta.email

Quelques chiffres

  • Liberta Cloud : + 500 comptes Cloud, 1 To
  • Liberta Vidéo : presque 1000 comptes, + de 4500 vidéos, 1.3 To
  • Liberta Audio : + de 2400 comptes, + de 10400 pistes, 110 Go
  • Liberta Blogs : 34 blogs
  • Liberta Docs : 41 drives

Les finances de Liberta

Les finances ne vont pas bien ! Liberta a plus que jamais besoin de vous, alors soutenez, donnez, même 10 centimes ! Pour me citer moi-même :

« [...] alors qu’il suffirait que chaque utilisateur⋅ice donne 1 euro PAR AN pour que Liberta soit résilient »

J'essaie de plus en plus de communiquer en français ET en anglais, je vais essayer de m'y tenir.

À bientôt pour de nouvelles news encore plus neuves !

Pour me contacter sur Mastodon : https://piaille.fr/@appzer0, ou par mail : libertadmin AT liberta POINT vip

 
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from Capnolagnia

Nerea se empezó a fijar en que iban apareciendo compañeras suyas de su edad que fumaban, ya no solo las “chicas malas” que hasta entonces habían sido las únicas fumadoras de su edad, ahora descubría que chicas que no respondían a ese perfil habían empezado a fumar y ese fenómeno le resultaba fascinante por su propio interés por el tabaco ¡Chicas de su edad que fumaban! ¡Sorprendente! ¿Qué sentían? ¿Cómo era para ellas el fumar?

Muchas de estas nuevas fumadoras eran del tipo de chicas que se podría llamar pijas, chicas superficiales cuyo máximo interés era situarse bien en una jerarquía de alumnos decidida por ellas mismas, decidiendo quien era guay y quien no y empeñadas sin descanso en un juego de conspiraciones sociales. Para estas chicas fumar era una demostración de que eran gente de mundo y chicas desenvueltas. Nerea no tenía muchas ganas de relacionarse con ese tipo de chicas porque el trato con ellas era muy poco natural y fluido, siempre parecían estar compitiendo y tratando de quedar por encima de las demás, por lo que sabía que tratar de relacionarse con ellas traía más molestias que satisfacciones.

Pero aparte de las “fumadoras pijas” Nerea vio que aparecían algunas otras nuevas fumadoras que tampoco respondían al patrón de “chicas malas” y que solían no ser tan gregarias como las “pijitas” y las “malotas”. Empezó a buscar el trato con alguna de esas fumadoras tratando de satisfacer su curiosidad por como era ser fumadora para esas chicas y porque fumar le parecía algo muy vistoso y atractivo. Por eso Nerea buscó la amistad de fumadoras, aunque manteniéndolas como amigas secundarias y siguiendo con sus amigas habituales como amigas más cercanas.

Una tarde Nerea salió de clase algo más tarde por quedarse fotocopiando unos apuntes. Al salir del colegio se metió por el parque cercano y vio sentada sola en un banco a Pastora, una compañera con la que coincidía en las clases optativas de francés y con la que alguna vez charlaba porque en clase de francés no coincidía con ninguna amiga y Pastora le parecía una chica simpática en una situación parecida a la suya. Pastora es una chica menuda, de estatura similar a la de Nerea, de pelo liso y rubio, de color miel. Era miembro de una pequeña asociación ecologista local de la que también eran miembros las que por entonces eran sus amigas más cercanas, Lorena y Evelyn. Viste con un aire algo hippie y alternativo y es una chica serena. Al verla en el parque Nerea se fijó sorprendida en que estaba fumando, algo que no le pegaba nada en Pastora. Mientras fumaba, Pastora ojeaba un libro con poca atención, levantando cada poco tiempo la vista para echar un vistazo alrededor Se notaba que solo miraba el libro para entretenerse mientras se fumaba el cigarrillo, a falta de compañía. Nerea se acercó a saludarla.

-Hola Pastora ¿Qué tal? -Ah, hola Nerea. Bien- le contestó Pastora, alegrándose de tener compañía- ¿Y tu? -También bien ¿Qué lees? -“Memorias de Adriano”, está bastante bien pero en el parque no me concentro para leer- dijo cerrando el libro- ¿El de filosofía ya os puso el examen a los de la D? -Aun no- contestó Nerea, viendo que Pastora tenía ganas de conversación- No se si exigirá mucho. -No se, de momento no se ha portado muy mal pero dicen que otros años solía dar caña- dijo acercándose el cigarrillo a los labios. Dio una chupada y después soltó un apretado chorro de humo. -No sabía que fumaras. -Ah, es solo una tontería- dijo Pastora con una sonrisa un poco avergonzada- Es que este verano en casa de mis abuelos paternos solía andar con mis primas, que fuman, y me pareció que por fumar cuando andábamos por ahí mientras estaba de vacaciones con ellas no iba a pasar nada, pero después no pude parar. Es una tontería.

A Nerea le dio la impresión de que Pastora no quería que pensara que fumaba por darse importancia.

-¿Y antes de este verano nunca habías fumado?– preguntó Nerea curiosa. -Lo había probado y me había gustado, pero había decidido no fumar porque, ya sabes, fumar no es muy sano- dijo justo antes de dar otra calada.

Pastora se sintió algo incómoda por las preguntas de Nerea sobre el tabaco porque su reciente adicción era un accidente que le daba cierto pudor. Pero se le ocurrió que quizá lo que pasaba es que Nerea fumaba y quería un cigarrillo. Echó mano a su macuto buscando su cajetilla y le preguntó:

-Perdona, no te he ofrecido ¿Fumas? -Uh, no. No fumo- rehusó Nerea mientras Pastora dejaba de nuevo el paquete dentro del macuto, algo contrariada pensando que si Nerea no le preguntaba sobre el tabaco porque ella misma fumaba, quizá fuera porque lo desaprobaba y que ahora podía hacer algún comentario en contra. Nerea intuyó que Pastora podía estarse sintiendo criticada y trató de disipar esa sensación. -Pero no tengo nada contra los fumadores, si a alguien le gusta fumar por mi estupendo. Yo también lo probé alguna vez

Pastora sonrió relajada y dio otra calada.

-¿Y no te gustó? –le preguntó a Nerea. Bueno, no está mal- contestó con una sonrisa cómplice- pero paso. -Haces bien, antes de que te des cuenta ya no puedes pasar sin tabaco, no sabes la fuerza que tiene esto, no me veo capaz de dejarlo. -Vaya, debe ser un fastidio- dijo Nerea con expresión solidariamente apesadumbrada- da un poco de miedo ¿no? -Si, estar enganchada es una faena, nunca pensé que fuera a caer, nunca pensé que esto fuera conmigo, pero bueno, la verdad es que me gusta fumar así que tampoco me debo quejar mucho. Y bueno, hay mucha gente que fuma ¿no?

Nerea asintió. Pasaron a otros temas de conversación y Pastora acabó su cigarrillo.

La siguiente vez que coincidieron en clase de francés tras aquel encuentro en el parque, ya charlaron con más confianza y también empezaron a juntarse a hablar en los pasillos y en el patio, conociendo a sus respectivas amigas. Además a Nerea le gustaba acompañarla cuando Pastora iba a alguna parte a fumar y si se encontraba con ella al salir de clase se iba con ella a algún lugar un poco discreto.

-Mis padres no saben nada de que fumo- le explicó a Nerea- Este verano, en una fiesta que mis primas daban en casa, mis madre y una tía se asomaron a vigilar y me vieron con un pitillo en la mano, pero como la fiesta se había desmadrado un poco, todo el mundo estaba fumando y había alguna persona un poco borracha, mis padres pensaron que el pitillo era algo puntual por el ambiente que se había montado y que por lo menos yo no había bebido. Me riñeron un poco por lo del pitillo pero el asunto quedó tapado por la bronca que nos echaron por la fiesta, que se suponía que era una simple merendola.

En el instituto de Nerea era obligatorio comer en el centro, para no extender los horarios con el tiempo gastado por los alumnos en ir y volver a casa para comer. Pastora fumaba poco y fumar en los servicios no le resultaba muy atractivo, pero a veces después de comer sentía deseos de fumar y echaba un cigarrillo rápido en los baños. Así un día tras la comida, Nerea fue con su amiga Sandra a los servicios a hacer sus necesidades y, según entraron, vieron que justo se estaban lavando las manos Pastora, Evelyn y Lorena. Pastora sacó un paquete de tabaco y extrajo un cigarrillo.

-¿Pero cuando vas a dejar eso?– le dijo Lorena bajito para que no la oyeran dos chicas que estaban fumando en la esquina contraria. -Vaya ecologista estás hecha, ja ja- bromeó Evelyn. -Venga, no seáis plastas- protestó Pastora antes de encenderse el cigarrillo. -Bueno- dijo Evelyn- vamos saliendo al patio, no tardes.

Lorena y Evelyn se fueron de los servicios y Nerea y X entraron en sendos retretes. Cuando Nerea salió del retrete Pastora seguía allí fumando sola, sin hablar con las otras dos fumadoras que eran chicas en otra onda. Nerea y X se quedaron a hacerle compañía en los humeantes baños mientras fumaba con cierta prisa el cigarrillo.

-Lorena y Evelyn son muy antitabaco- comentó Pastora explicando la marcha de sus amigas e implícitamente agradeciendo su compañía.

Sandra pensó que Lorena y Evelyn tenían razón en mostrarse contrarias a que su amiga fumara, pero prescindió de hacer ningún comentario porque no creía que fuera a conseguir nada positivo con ello y porque le parecía que estaba bien no dejar a Pastora sola.

-La verdad es que fumar siendo ecologista no tiene mucha lógica- bromeó Pastora sonriendo. -Vas contra los humos industriales y llevas tu propia contaminación encima, ja ja – le picó Nerea. -Tampoco es exactamente lo mismo, supongo- dijo Sandra sorprendiéndose a si misma defendiendo compasivamente a Pastora. -Si, estos humos están mucho más ricos- rió Pastora haciendo que Sandra sacudiera la cabeza en un gesto de resignada y benévola desaprobación.

 
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from MATHEW23


- Bristol's academic landscape is vibrant yet rigorous, placing immense pressure on students to excel in their studies.
- Essay writing, a fundamental aspect of academia, demands 500 Words Essay meticulous research, critical analysis, and eloquent expression, which can overwhelm students amidst their busy schedules.

  1. Diverse Subjects and Requirements:
    - Bristol's educational institutions offer a wide array of subjects, each with its unique set of requirements and expectations.
    - From literature to engineering, students often find themselves grappling with complex topics that necessitate specialized expertise in crafting high-quality essays.

The Role of Essay Writing Services:
1. Expert Guidance:
- Essay writing services in Bristol provide students with access to seasoned professionals well-versed in various academic disciplines.
- These experts offer personalized guidance, helping students navigate through intricate topics and refine their ideas into cohesive, well-structured essays.

  1. Customized Solutions:
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    - Whether it's an argumentative essay, a research paper, or a dissertation, these services meticulously craft papers that align with academic standards and exceed expectations.
  2. Time Management:
    - In a city brimming with cultural events and extracurricular activities, Essay Writing Service Liverpool students often struggle to strike a balance between academics and personal pursuits.
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Ethical Considerations:
1. Plagiarism-Free Guarantee:
- Upholding academic integrity is paramount. Essay writing services in Bristol adhere to strict plagiarism policies, ensuring all papers are original and meticulously referenced.
- By fostering a culture of academic honesty, these services empower students to uphold ethical standards while excelling in their studies.

  1. Confidentiality and Privacy:
    - Recognizing the sensitive nature of academic assistance, essay writing services prioritize confidentiality and privacy.
    - Students can confidently seek assistance without fear of their personal information or academic endeavors being compromised.

The Path to Academic Excellence:
1. Collaboration and Feedback:
- Essay writing services in Bristol encourage collaboration between students and writers, fostering a conducive environment for learning and growth.
- Through constructive feedback and open communication, students gain invaluable insights into the nuances of academic writing, empowering them to become proficient scholars in their own right.

  1. Continuous Improvement:
    - Committed to excellence, essay writing services in Bristol continually strive to enhance their offerings through innovation and adaptation.
    - By staying abreast of evolving academic trends and methodologies, these services ensure that students How to Write a Persuasive Essay? receive the highest caliber of assistance tailored to their evolving needs.

Conclusion:
In the dynamic academic landscape of Bristol, essay writing services stand as pillars of support, guiding students towards academic excellence while upholding ethical standards and fostering a culture of learning. As students embark on their academic journeys, these services serve not only as providers of assistance but as catalysts for growth, empowering students to navigate the complexities of academia with confidence and proficiency.

 
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from MATHEW23

The Wordcraft Collective: Crafting Excellence in Written Works In the present advanced age, where quality written substance is the final deciding factor and correspondence is vital, the interest for excellent composing has never been more prominent. Whether it's for capella flexpath assessments purposes, scholarly pursuits, or individual undertakings, the capacity to pass thoughts really on through composed correspondence is an expertise that can open entryways and drive achievement. This is where BSN Composing Administrations moves toward, offering a far reaching set-up of composing arrangements custom fitted to meet the different necessities of clients across ventures.

online class help services values its obligation to greatness, amazing skill, and consumer loyalty. With a group of experienced journalists who are specialists in their separate fields, BSN guarantees that each piece of content created isn't just elegantly composed yet additionally fastidiously explored and custom fitted to the particular necessities of the client. From blog entries and articles to scholastic papers and business reports, BSN Composing Administrations covers many composing needs with accuracy and style.

One of the vital qualities of nurs fpx 6016 assessment 3 lies in its capacity to adjust to the steadily changing scene of composing styles and organizations. Whether it's complying with the most recent Website design enhancement rules for online substance or observing the severe arranging prerequisites of scholarly diaries, the authors at BSN are knowledgeable in the subtleties of different composing styles and can convey content that is both drawing in and significant.

Besides, nurs fpx 6011 assessment 1 comprehends the significance of cutoff times and values its capacity to convey top notch content as soon a possible. Whether it's a somewhat late blog entry or an extended examination paper with a tight cutoff time, clients can depend on BSN to convey results without settling on quality.

Another angle that separates nurs fpx 6103 assessment 5 is its obligation to customized administration. Not at all like numerous other composing administrations that offer one-size-fits-all arrangements, BSN carves out opportunity to comprehend the exceptional necessities and objectives of every client and works intimately with them to foster altered arrangements that meet their particular prerequisites. Whether it's conceptualizing thoughts, framing a task, or reexamining drafts in light of criticism, BSN Composing Administrations is committed to guaranteeing that each client gets the singular consideration they merit.

Moreover, BSN Composing Administrations puts areas of strength for an on straightforwardness and correspondence all through the creative cycle. From starting conferences to definite expectations, clients are kept educated each step regarding the way, with open lines of correspondence to resolve any various forms of feedback that might emerge. This obligation to straightforwardness helps fabricate trust and guarantees that clients are totally happy with the final product.

All in all, BSN Composing Administrations is something other than a composing organization – it's an accomplice in progress. With its commitment to greatness, impressive skill, and customized administration, BSN does an amazing job to convey composing arrangements that meet as well as surpass the assumptions for its clients. Whether you're a business hoping to improve your web-based presence, an understudy needing scholastic help, or a person enthusiastically for composing, BSN Composing Administrations is here to assist you with accomplishing your objectives and lift your composed correspondence higher than ever.

 
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from pefexa9206

Mastering the Art of Proposing a Girl on Chat: A Comprehensive Guide

In this digital age, where communication happens at the tap of a screen, expressing one's feelings has evolved too. Gone are the days of traditional face-to-face proposals; now, many romantic endeavors begin and blossom in the virtual realm. Proposing a girl on chat might seem daunting at first, but with the right approach, it can be a heartfelt and memorable experience for both parties involved. Whether you're nervous about how to initiate the conversation or unsure about conveying your emotions effectively through text, this guide will equip you with the tools and strategies to propose to the girl of your dreams with confidence and sincerity.

https://healthylifehuman.com/how-to-propose-a-girl-on-chat/

Understanding the Dynamics of Chat Proposals

Before delving into the intricacies of proposing on chat, it's crucial to understand the unique dynamics of online communication. Chat platforms offer a certain level of anonymity and distance, which can be both advantageous and challenging when it comes to expressing romantic feelings. Unlike face-to-face interactions, where body language and tone of voice play significant roles, chat conversations rely solely on written words to convey emotions and intentions. Therefore, crafting your proposal thoughtfully and strategically becomes paramount in ensuring that your message resonates with the recipient.

Building a Strong Foundation: Establishing Trust and Connection

The success of any proposal, whether in person or online, hinges on the foundation of trust and connection between two individuals. Before broaching the topic of romance, focus on building a genuine rapport with the girl you're interested in. Engage in meaningful conversations, show genuine interest in her life, hobbies, and aspirations, and be attentive to her thoughts and feelings. By investing time and effort into cultivating a strong emotional connection, you lay the groundwork for a more meaningful and authentic proposal down the line.

Timing Is Key: Choosing the Right Moment

Timing plays a crucial role in the success of a chat proposal. While spontaneity can be romantic, it's essential to gauge the girl's receptiveness and emotional state before expressing your feelings. Choose a moment when both of you are relaxed, engaged in a positive conversation, and the atmosphere feels conducive to a heartfelt exchange. Avoid rushing into the proposal or springing it on her unexpectedly, as it may catch her off guard and diminish the impact of your message.

Crafting Your Message: The Art of Expressing Emotions

Crafting a heartfelt and sincere proposal message requires careful consideration of your emotions and intentions. Begin by expressing your appreciation for her presence in your life and the qualities that you admire about her. Be genuine and specific in your compliments, highlighting aspects of her personality, character, and actions that resonate with you deeply. Share your feelings openly and honestly, using language that reflects the depth of your emotions without overwhelming her. Strike a balance between vulnerability and confidence, conveying your affection with sincerity and authenticity.

Adding a Personal Touch: Tailoring Your Proposal to Her

Personalization is key when it comes to proposing on chat. Take the time to consider the girl's interests, preferences, and communication style, and tailor your proposal message accordingly. Incorporate inside jokes, shared memories, or references to moments you've shared together to create a sense of intimacy and connection. By demonstrating that you've taken her individuality into account, you not only make the proposal more meaningful but also show her that you value and understand her on a deeper level.

Respecting Her Response: Accepting Rejection Gracefully

While it's natural to hope for a positive response to your proposal, it's essential to prepare yourself for any outcome, including rejection. Remember that everyone has the right to their feelings and boundaries, and a rejection doesn't diminish your worth as a person. If the girl expresses hesitance or declines your proposal, respond with grace, understanding, and respect. Thank her for her honesty and bravery in sharing her feelings, and reassure her that you value her friendship regardless of the romantic outcome. Maintaining a mature and respectful attitude in the face of rejection reflects positively on your character and preserves the possibility of maintaining a meaningful connection in the future.

Following Up: Nurturing the Relationship

Regardless of the outcome of your proposal, it's essential to follow up with the girl and continue nurturing your relationship. If she accepts your proposal, express your gratitude and excitement for the journey ahead, and discuss your hopes and expectations for the relationship moving forward. If she declines, reaffirm your friendship and commitment to supporting each other's well-being, and focus on strengthening your bond as friends. In either scenario, maintain open communication, respect each other's boundaries, and continue investing in the growth and development of your connection.

Conclusion

Proposing a girl on chat may seem daunting, but with the right approach and mindset, it can be a deeply meaningful and memorable experience for both parties involved. By building a strong foundation of trust and connection, choosing the right moment, crafting a heartfelt message, and respecting her response, you can navigate the complexities of online communication with confidence and sincerity. Remember that every relationship is unique, and there's no one-size-fits-all approach to proposing. Trust your instincts, be genuine in your intentions, and let your love shine through your words as you embark on this romantic journey together.

 
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from libertadmin

Voix Off : « Pour toujours améliorer l'accessibilité au plus grand nombre et afin d'améliorer les performances et l'expérience de nos utilisateurs, Liberta va modifier quelque peu son fonctionnement concernant la gestion des comptes et la mise à disposition de ses services en ligne. Votre compte sera toujours aussi sécurisé et performant, vous n'avez rien à faire. »

Traduction :

On va bientôt :

  • Saigner les comptes inactifs de plus d'un an
  • Mettre des coups de scalpel dans les quotas
  • Passer les inscriptions en modération systématique
  • Modérer plus sévèrement comptes et contenus
  • Inciter à donner des SOUS

Les comptes inactifs seront évaporables

Tous les comptes sur Liberta Cloud seront désactivés après 1 an d'inactivité, précédés d'une notification par mail, puis ils seront purement, simplement et définitivement supprimés après 6 mois supplémentaires d'inactivité (aucune nouvelle connexion au compte, via l' application ou via une connexion manuelle). Les données seront bien évidemment supprimées de la même façon.

Inutile de demander une copie ancienne des données, elles sont chiffrées et inutilisables et ne servent qu'à restaurer les services de Liberta en cas de panne, le Cloud n'étant pas un service de sauvegarde de données (bien qu'on puisse s'en servir comme tel) mais bien de stockage et de consultation en ligne.

Ce nettoyage va libérer énormément d'espace disque pour le plus grand bonheur du bien commun et permettre à bien plus de gens de profiter du service.

Liberta Vidéo subira le même sort pour les comptes inactifs sans contenu et les comptes non confirmés par mail.

Revoir les quotas

Il n'est pas équitable de fournir un service toujours financé par les quelques bonnes âmes qui contribuent (une infinité de mercis à vous). Les quotas vont donc être redistribués en tant que contrepartie selon le principe de la participation libre et nécessaire.

Comprendre : donner 1 euro, 100 euros ou bien se fendre d'un petit mail pour demander une extension de quota est une contribution en soi car chacun⋅e a bien le droit d'être à la dèche.

Idem pour la communauté : beaucoup d'espace disque libéré et mis à disposition de plus de gens.

Modérer, modero, moderamus, moderate

Toutes les inscriptions seront passées en modération pour validation préalable car il ne faut pas oublier qu'un bon spammeur est un spammeur enduit de goudron et de plumes qu'on aura mis à sécher au soleil en le forçant à écouter en boucle l'intégrale de Michel Sardou en accéléré.

  • Les plateformes Audio, Cloud et Vidéo sont concernées.
  • Liberta Blogs ne permet pas la modération des inscriptions, il faudra donc demander un lien d'invitation.
  • Idem pour Liberta Podcasts, qui ne permettait déjà pas l'inscription libre, il faudra aussi demander un lien d'invitation.
  • Itou pour Liberta Docs, le service restera donc ouvert aux inscriptions.
  • Liberta Pad n'est pas concernée car aucun compte n'est requis.

Gain : une bonne heure hebdomadaire de bonne santé mentale gagnée à ne plus avoir à nettoyer le spam, j'en trépigne d'avance !

Sévir sur la modération des contenus

La modération des contenus illicites et hors de nos CGU (surtout pour Liberta Vidéo) ainsi que les abus (les comptes multiples, des épisodes des Feux de l'amour, des trucs crypto-facho) sera remontée de plusieurs crans : finies les suppressions de vidéos au compte-gouttes ou les rappels aux règles, les comptes concernés seront plus facilement directement supprimés (allez pourrir Youtube, soyez sympas).

Parties contreparties

Que vous donniez par an, par mois, une seule fois, que ce soit 50 centimes ou mon poids en dirhams, que vous demandiez simplement une rallonge ou que vous contribuassiez d'une façon ou d'une autre à Liberta, vous serez traité⋅e comme notre extension de domaine, à savoir une VIP.

Soutenir sur LiberaPay

Pour faire un don ponctuel, il faut choisir un don récurrent par an mais avec renouvellement manuel – et choisissez le don personnalisé (je ne suis pas certain qu'on puisse payer en dirhams par contre) : https://liberapay.com/Libertadmin/

Soutenir sur OpenCollective

Ça se passe ici : https://opencollective.com/liberta

Parlez-moi sur Mastodon : https://piaille.fr/@appzer0 Écrivez-moi par mail : libertadmin@liberta.vip

appzer0, le Libertadmin.

 
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from Blog de Patate

Mes horaires et conditions de travail s'étant grandement allégées depuis novembre (alors que paradoxalement je fournis un effort d'exécution bien supérieur, cf. la mention “de labeur” en suffixe au nom de ma convention collective), mon sentiment de disponibilité revient doucement. C'est agréable. Je retrouve un peu plus mes ami·es, je pense à inviter, je suis invité en retour, je me sens plus détendu à l'approche des mes obligations domestiques en fin de journée. Et soudain, ce petit vide tantôt angoissant, tantôt excitant. Ok. Peut-être suis-je prêt à refaire de la musique en amateur avec des gens ?

J'avais oublié un aspect dont je m'étais soigneusement tenu à l'écart pendant mes quinze années de pratique musicale entre 2001 et 2017 (oui ça fait 17, bravo) : s'il n'existe aucune frontière à ce phénomène qui touche toutes les couches de tous les domaines et que donc la musique n'est pas à proprement parler LE loisir ou LE métier où ça s'exprime, bordel de cul que les mecs sont chiants.

Possessions matérielles, mansplaining, sur-technicité, il m'a fallu trois minutes de scrolling dans une communauté d'annonces locales en ligne pour me rappeler qu'on est, les mecs cis, en surnombre. Et vas-y que je me justifie du nombre d'années de pratique, que je mets en doute le nombre d'années de pratique des autres quand ils postent leur annonce, je sais te dire la diff' entre deux modèles d'ampli similaires dont je connais également les chiffres et codifications en suffixe des noms, je vais te donner des conseils que tu n'as pas demandés au bout de trois paragraphes de “partage” d'expérience(s), je vais même te dire comment orthographier le nom de ton groupe. Une fois “casés”, ça donne ces guerres de volume d'ampli et les acouphènes qui vont avec, les ricanements à la simple mention des considérés “sous-genres” musicaux qui ne requièrent pas la technicité qu'ils ont acquis dans la douleur et la persévérance pour se rapprocher des étiquettes qui méritent de mettre du pognon pour écrire leurs noms en dorure à chaud sur les livrets de partitions ou les affiches de festivals.

Je suis un peu dans la mouise. Il va me falloir, pour mon plaisir pur de jeu, attendre et/ou solliciter des goûts musicaux bien particuliers et peu représentés, et en plus trier les gros cons. Les musiciennes ont compris le truc avant tout le monde, douloureusement, et ont rassemblé cette force nécessaire de soit jouer solo, soit jouer entre elles. Je n'ai pas cette confiance. Plus précisément : j'ai le confort de n'avoir jamais eu besoin de rassembler cette force. Et puis bon la batterie, si ça a l'avantage d'être extrêmement accessible et d'avoir un jeu qui peut être déployé en fumiste sur l'instant, ça a l'inconvénient de ne fournir – me concernant en tout cas – aucun plaisir en solo.

Je vais attendre. Mais l'attente c'est long et ça donne envie d'agir. Agir, ça serait d'aller faire chier tous ces petits mecs dès qu'ils la ramènent avec leur regard espiègle ou ténébreux sur leur photo de profil en noir et blanc. Ou alors les aiguiller vers ce post de blog. Ou bien continuer d'attendre la petite perle de personne qui postera prudemment son annonce, sachant elle aussi ce qui l'attend, mais qui aura eu plus de volonté et de résilience que moi.

 
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from libertadmin

Liberta aura 4 ans fin novembre 2023

Le futur de Liberta est à l'ordre du jour pour ses 4 ans, mais tout autant que son absence d'avenir.

Grandir.

Originellement, Liberta était sous la houlette de la société SILICS que j'avais montée dans le cadre de mon contrat dans une Coopérative d'Activité et d'Emploi (CAE). J'ai fini par quitter ce statut (excellente expérience, cela dit).

Le besoin

Liberta a donc maintenant besoin d'une structure à laquelle se rattacher. Ce peut être une association, une coopérative ou autre, idéalement reconnue d'intérêt général afin de pouvoir recevoir des dons défiscalisés et faciliter les contribution financières des plus « privilégié⋅es » d'entre nous qui sont soumis à l'impôt français sur le revenu et qui désirent un abattement tout en servant une cause qui leur semble juste et nécessaire.

L'idée

L'idée est donc de rester autonome en termes de maintenance, de technique, de ligne éditoriale / modération et fonctionnement, de ne pas ajouter de charge à la future structure, mais de mettre en commun les finances et mes compétences à contribution et éventuellement partager les ressources matérielles, tout en dirigeant les dons et contributions vers la nouvelle structure-mère.

Le serveur de backup ne fait que stocker du ZFS et a pas mal de CPU et de RAM en dormance à partager, ce sera l'occasion de le mettre à contribution (avec, par exemple, un runner Peertube ou que sais-je).

Pour résumer, Liberta doit pouvoir dans l'idéal continuer à :

Les sous

Je continuerai évidemment de financer Liberta avec mes propres moyens comme je le fais depuis bientôt 4 ans, mais ces moyens s'amoindrissent comme neige au soleil et Liberta a plus qu'urgemment besoin d'être à l'équilibre financier si elle veut continuer à exister et, idéalement, grandir pour offrir toujours plus de services libres et éthiques à ses utilisateur⋅ices.

Liberta, c'est 150 euros par mois de frais de location de 2 gros serveurs dédiés chez Hetzner en Allemagne et en Finlande, plus quelques noms de domaines.

Les dons sur LiberaPay sont actuellement de 7 euros et des bananes par semaine : https://liberapay.com/Libertadmin/

Les dons sur OpenCollective sont ponctuels et très irréguliers (~ 2 par an) : https://opencollective.com/liberta#category-BUDGET

Pas besoin d'un master en maths pour voir que les finances sont dans le rouge qui vire au grenat. Mais encore un gros merci aux donateur⋅ices, vraiment.

L'idée de fonder une association pour Liberta ne me dit vraiment rien et je trouve dommage de continuer à s'éparpiller sous une multitude de houlettes alors que tant de collectifs existent qui maîtrisent leur fonctionnement (AG, rapports, budgets, communication, tout ça tout ça).

Ou disparaître.

Disons-le tout net : il reste un an pour financer Liberta avec mon épargne.

De plus, les disques sont quasiment pleins et je n'ai pas le budget pour agrandir mon pool ZFS ou louer un serveur supplémentaire.

Au vu de l'évolution de l'usage des serveurs, les disques seront pleins dans, à la louche, un an également (si je veux continuer à conserver mes snapshots).

Si l'activité devait cesser; il faudra donc que je prévienne les utilisateur⋅ices à l'avance que tout va dégager :

  • Funkwhale : 711 comptes
  • Nextcloud : 477 comptes
  • Peertube : 705 comptes
  • Writefreely : 30 comptes

Et quelques de sites internet sous Wordpress.

Autant préciser de suite que je ne vais pas m'amuser à envoyer des mails à l'ensemble des gens alors qu'elles ne se sont inscrites à aucune liste de diffusion, donc si un bandeau d'information apparaît sur chaque service, chacun⋅e saura que le bateau coule doucement et qu'il est temps de se procurer une bouée dans l'intervalle.

J'ose espérer ne pas en arriver là. Je vais jeter quelques bouteilles à la mer et il est évident que 2024 sera une année de changements.

Si vous ne lisez pas entre les lignes : CONTACTEZ-MOI

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appzer0, le Libertadmin.

 
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from libertadmin

Un dogme ou un manifeste ? Les deux !

Ça me trottait dans la tête depuis un moment, c'est fait. Il fallait à Liberta un document sur sa vision et sa volonté pour répondre à certaines interrogations comme « pourquoi ça existe et gratuitement, y'a un loup quelque part », « c'est qui celleux-là », « qu'est-ce qui me dit qu'iels vont pas faire n'importe quoi ensuite », bref, au-delà du fait que cela peut donner conséquemment confiance aux gens qu'on héberge, je voulais exposer l'idée derrière Liberta sous la forme d'un engagement qui soit un tant soit peu solennel et qui reste humble et pragmatique sans que ça constitue un argumentaire ou un quelconque exposé qui serait bon pour la réputation ou le marketing.

J'ai donc créé le Dogmanifeste, une « Déclaration D'Adhésion Totale À Un Code De Bonne Conduite Mais Pas Que », il est disponible ici sous licence Creative Commons non-modifiable et Liberta en est bien évidemment signataire ; il y a donc le document proprement dit et la déclaration d'adhésion de Liberta à ce document.

Le document : https://www.liberta.vip/dogmanifeste.html La déclaration de Liberta : https://www.liberta.vip/dogmanifeste.html#declaration

C'est assez court, en 5 points, mélangeant radicalité et tempérance. Le document est assez générique et la déclaration qui s'en inspire se doit d'être plus détaillée.

Ça se résumerait en gros à ces principes : faire le max de façon désintéressée, transparente, philanthropique et mesurée.

Certain⋅es penseront au Manifeste de Framasoft – https://framasoft.org/fr/manifest/ – au Dogme95 de Lars Von Trier et ses potes – https://fr.wikipedia.org/wiki/Dogme95 – ou à la charte des CHATONS – https://www.chatons.org/charte – qui vient d'être révisée et a fait couler beaucoup d'encre – https://forum.chatons.org/t/vote-sur-la-revision-de-la-charte-chatons/5089 – et c'est un peu un mix des idées éparpillées ça et là dans ces sources en effet mais pas exclusivement, c'est surtout un document à visée interne et qui fera autorité pour les éventuelles futures personnes qui rejoindront Liberta en tant que gestionnaires, admins, modos, etc.

Quelques nouvelles

Il y a eu pas mal de coupures de services cet été pour des modifications dans l'infrastructure qu'il devenait urgent de faire :

Le serveur web-01 faisait tourner Redis, ce service a été déplacé sur le serveur sql-01 aux côté de MySQL et PostgreSQL et chaque application a dû être modifiée en conséquence.

Peertube a également été migrée de video-01 vers web-01 ; video-01 a donc été arrêté, libérant des ressources supplémentaires pour les frontaux. Ces changements doivent encore être documentés sur la documentation.

Côté logiciel :

Ajoutons à tout cela les mises à niveau vers Debian 12 « bookworm » sur les 5 hôtes. Il ne reste que web-01 qui est encore en Debian 11 mais, toutes les applications web y figurant, ça va prendre plus de temps.

NodeJS est passé en version 20 (on se traînait la 16 depuis un bail), PHP en 8.2, je passe sur les mises à jour des applications, notamment CryptPad et Etherpad-lite sur lesquelles on est aussi à la bourre.

Quant à l'instance Nextcloud, les versions s'enchaînent plus vite que la cuisson d'un oeuf mollet et leur délire avec de l'IA partout me laisse perplexe vu la lourdeur du logiciel (et on parle là d'une instance avec plus de 450 utilisateur⋅ices), je vais donc y aller progressivement et en marchant sur des oeufs (mollets) pour les mises à niveau.

Liberta aura 4 ans en novembre 2023, ce sera peut-être le moment de se demander quoi faire pour pérenniser tout ça, intégrer une structure, rendre tout payant (je plaisante), inciter au soutien de manière beaucoup plus claire, faire des live à la con sut Touitche (non) ou bien fermer et aller élever des langoustines avant que la planète n'ait fini de se consumer.

Côté finances, Liberta n'est bien sûr toujours pas à l'équilibre – et je pourrais copier-coller cette phrase à chacun de mes nouveaux articles – alors qu'il suffirait que chaque utilisateur⋅ice donne 1 euro PAR AN pour que Liberta soit résilient !

Mais à nouveau un énorme MERCI aux donateur⋅ices qui, pour la grande si ce n'est l'entière majorité, restent anonymes et ne demandent souvent rien en retour.

Et pour me suivre, c'est sur le Mastodon de Piaille.fr que ça se passe, parce que vous allez finir par lâcher vos réseaux sociaux tout pourris, là. https://piaille.fr/@appzer0

appzer0 – Le Libertadmin

 
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from Abriendo caminos

Por fin terminaron la temporada de exámenes. En la tarde del viernes del último examen, Casia, desbordante de adrenalina, se unió a Óliver, Kety, Berta y algún otro amigo ciclista y salieron de la ciudad hacia un albergue a setenta kilómeros de allí. Almudena y otros veteranos de la Ruta Viracocha llevaban tiempo hablando de salir a acampar y al final su proyecto había confluido con los deseos de Casia de hacer una ruta ciclista larga al acabar el curso, por lo que proyectaron hacer un campamento en la comarca de Malplena, una zona de interior poco habitada, a ciento y tantos kilómetros, donde podrían darse un baño de naturaleza.

Evelia Villaverde había invitado a cenar a su casa a Casia, Patricia y Fabiola para ese mismo viernes. Casia excusó su presencia por razón de su compromiso deportivo, sugirió que Almudena la sustituyera, la baronesa aceptó y Casia convenció a Almudena de que asistiera, aunque esta no podría quedarse hasta tarde, dado que a la mañana siguiente salía para montar el campamento en Malplena.

La velada resultó muy tranquila, la propia Evelia había acabado ese día su temporada de exámenes y estaba cansada. Fabiola y Patricia acudieron con sus parejas, Marcos y Basilio. Acudieron también otro par de estudiantes amigos de Evelia, con inquietudes artísticas, dos pintores, una clarinetista , un guitarrista de rock, una frutera y su hija.

La frutera Hortensia era la suministradora habitual de frutas y verduras de Evelia, tenía un puesto en el mercado de abastos del barrio y era una mujer de unos sesenta años, de aire recio, teñida de rubio, con orígenes humildes y con aire tenaz, de mujer que pisa fuerte, una reina proletaria de barrio. La acompañaba su hija Marcela, de veintipocos años, con curvas pero no obesa, con su pelo castaño teñido al estilo californiano, con expresión dulce e inocentona, tenía un trato confiado y cercano con su madre, a pesar de que Hortensia parecía una mujer dura era protectora y respetuosa con su hija. Según avanzó la velada y la conversación, Almudena se fue dando cuenta de que Clara tenía alguna limitación cognitiva.   Con los postres sirvieron café y colocaron ceniceros en la mesa. Uno de los pintores, el guitarrista, Hortensia, Marcela y Fabiola sacaron sus cajetillas de cigarrillos. El tabaco de la frutera y su hija era de la misma marca. Encendieron cigarrillos y exhalaron humo con expresión de satisfacción.

– Que bueno- celebró Fabiola tras su segunda calada.   Marcela fumaba en presencia de su madre con espontaneidad, relajada y contenta  , como si se sintiera amparada o quizá más conectada con su madre al fumar, dando caladas sin complejos y expulsando lentos y abundantes conos anchos de humo. Se recreaba en las sensaciones del fumar y parecía sentirse orgullosa de su dominio sobre aquella actividad adulta, que la equiparaba a su madre. Si no fuera por su dominio de la técnica del fumar parecería que hacía poco que había descubierto las satisfacciones del tabaco. En aquella situación a Almudena le dieron ganas de fumar un puro y contempló a los fumadores con envidia. El pintor fumador captó la expresión de Almudena y le ofreció un cigarrillo, pero esta rechazó la invitación.

– Almudena no fuma cigarrillos, fuma puros de vez en cuando- comentó Fabiola. – Vaya, lo siento- dijo Evelia- no tengo puros en casa.    

A la mañana siguiente Almudena, Fabiola, Marcos y su hermano pequeño Tristán, Bayta, Maia, Ingrid acompañada de dos primos adolescentes, Nissa, Ricardo, Joaquín, Ana Topisto se juntaron en la estación de tren con mochilas y tiendas de campaña para dirigirse a la comarca de Malplena, para unirse al campamento del Círculo Excursionista. Los padres de Almudena y Rufo iban a usar el coche familiar ese fin de semana, por lo que habían optado por el transporte público. En la estación se juntaron con más gente de la que solía asistir a las caminatas del Círculo. Tras el tren, cogieron un autobús que les dejó en un pueblo de Malplena, junto a un polideportivo. Allí les recibieron Irene, Artemisa y Emilia, la prima de Rebeca, que habían ido a buscarles en coche para trasladarles al campamento. Tras efusivos besos y abrazos Fabiola e Íngrid sacaron sus cigarrillos, Irene le aceptó uno a Fabiola, las tres se dieron fuego y llenaron sus pulmones de humo con satisfacción. Las conductoras miraron el montón de equipaje y al grupo de viajeros con escepticismo.

– Vamos a tener que hacer varios viajes- dijo Emilia. Las otras conductoras asintieron. – Nosotros vamos en bici- dijo Tristán, que  con Marcos y Ricardo revisaban las bicicletas que se habían traído. – Aun así- dijo Irene.   Tras unas cuantas idas y venidas, todos estuvieron en el lugar de campamento con sus pertrechos, donde les esperaban Rebeca con sus primas adolescentes y su novio Lorenzo, Matilde, Ángela, Patricia, su novio Basilio con su hermana África y Mila, amiga de esta. Había varios de los habituales del círculo senderista, como Silvia, que se había traido a dos primas más jóvenes, y diversos veteranos de la Ruta Viracocha. Almudena se inquietó al ver que estaba Ángela, pensando en el efecto que una chica tan desinhibida sexualmente podía causar en aquel grupo. Le asustó un poco pero también sintió cierta expectación por las situaciones divertidas que podían crearse. Al acercarse Ángela a saludar besó a Almudena en los labios. -¿Dispuesta a pasártelo bien? – le dijo Almudena, que había dudado si preguntarle si iba a ser buena. -Dispuestísima.   Joaquín vio el beso de Almudena y Ángela con contrariedad. Hacía unos meses que había salido de una relación de pareja, en el viaje en tren hasta Malplena había estado charlando con Almudena y su viejo interés romántico por la chica se había reavivado, por lo que encontrarse con la posibilidad de que Almudena fuera lesbiana era un jarro de agua fría.   Al llegar al campamento ya se estaban encendiendo los campingás para preparar la comida y los recién llegados se unieron a los preparativos. Tras la comida los fumadores encendieron sus cigarrillos. Irene, que no solía fumar cigarrillos en las salidas del Círculo Senderista, con la presencia de más fumadoras se sintió mucho más cómoda para fumar y encendió un cigarrillo contenta.

-¿Fumas? – le dijo sorprendida una prima de Rebeca de catorce años. -Por desgracia si. Es un asco pero estoy enganchada y no lo puedo dejar. No empieces nunca.

La chica se fue a otro lado.

-Mentira, me encanta fumar- aclaró Irene a sus acompañantes con una sonrisa traviesa, cuando se alejaron los oídos púberes, antes de dar una buena calada e inhalarla con delectación.

  Tras la comida, algunos se quedaron en el campamento charlando o echando la siesta y otros salieron a explorar la zona, caminando por senderos que les llevaban en distintas direcciones. Los grupos no se volvieron a reunir hasta las nueve, para la cena. Cuando Almudena volvía al campamento vieron llegar por el camino a Casia y sus compañeros de salida ciclista, exhaustos y felices. Se dieron abrazos y besos sudorosos, antes de que los ciclistas fueran a ducharse a un lugar discreto junto al arroyo, donde amigos solícitos habían colgado al sol unas duchas solares.

Antes de cenar, aprovechando el crepúsculo, levantaron rápidamente las tiendas convirtiendo en minutos el simple picnic en un auténtico campamento. Habían preferido tener las tiendas desmontadas durante el día para evitar posibles denuncias o quejas de vecinos quisquillosos.

Al acabar la cena, Almudena vió que Íngrid, Laura y Fabiola se disponían a fumar.

-Esperad chicas- las interrumpió Almudena, levantándose- os invito a un puro.

Le hicieron caso algo indecisas y Almudena volvió volando de su tienda con una purera con Montecristos y Vega Fina. Buscó con la mirada a Irene y a Maia y las llamó. También vió a Lorenzo, que estaba con Rebeca y sus sobrinas, pero se cortó de llamarlo para que no le vieran fumar las adolescentes.

-Fuma uno Irene. Maia, si te apetece...

Le apeteció, para disimulado disgusto de Rufo. Irene, Fabiola y Maia se atrevieron con un Montecristo, como Almudena, mientras que Íngrid y Laura eligieron un suave Vega Fina.

-¡Que rico!– dijo Irene, que nunca había fumado un puro Montecristo. Maia le dio la razón para satisfacción de Almudena.

Óliver vió a sus amigas fumando cigarros, le dió envidia y le preguntó a Almudena si le podía invitar. Almudena le dió a elegir y Óliver encendió el último Montecristo que tenía Almudena.

Fumadores y no fumadores se relajaron en una agradable charla, sentados en corros.

-Estarás horrorizada con lo del tabaco- le dijo Óliver a Berta Prada, la enérgica deportista de mediana edad. -¡Que va! Yo fumaba de joven. Me gustaba, pero lo dejé del todo a los treinta y dos para mejorar mi rendimiento deportivo y porque ya estaba pensando en ser madre. -¿Fumabas y hacías deporte?– le preguntó Casia sorprendida. – Ya se que no es muy recomendable pero si, aunque en los últimos años fumaba poco. En aquella época no era tan raro.

Silvia estaba molesta porque sus sobrinas Mafalda y Antía, al ver que en el campamento había fumadores, habían sacado cigarrillos y se habían puesto a fumar abiertamente. Mafalda tenía dieciséis años, más grandona, cabello claro, sonriente y con un algo de candor infantil. Antía tenía diecisiete años y cultivaba una estética gótica, con una melena negro azabache.

Aparecieron algunos instrumentos musicales y empezó a sonar música. Casia tenía ganas de tocar con Óliver, pero tuvo que esperar a que este acabara su puro. Finalmente llegó su turno y tocaron. En ese momento apareció Ángela, a la que Almudena no había visto desde hacía horas. -¿Donde estabas?– le preguntó Almudena. -En el bosque, follando. Almudena se quedó en silencio expectante. -Mujer, con tantos chicos y chicas guapas no pretenderás que desperdicie la ocasión ¿no? Bien a gusto que me he quedado. -¿Y que fue? ¿Chico o chica? -Chico    

A la mañana siguiente, cuando estaban preparando los desayunos, apareció una pareja de unos setenta años que vivían por a zona con aire serio. Dijeron que allí no se podía estar y se tenían que ir, con alusiones a la Guardia Civil. Irene y un chico charlaron con ellos en tono apaciguador pero los vecinos se mostraban inflexibles. Aquella situación no había sorprendido a nadie, era algo que sabían que podía pasar por lo que no se estresaron mucho. Tras la marcha de los vecinos hostiles, en una improvisada asamblea, se decidió recoger el campamento y cambiarse a otra ubicación. Sacaron mapas de la zona y barajaron diferentes lugares. Viendo que había una casa de retiro budista, Casia sugirió que sus inmediaciones podían ser un buen lugar porque, en sus salidas ciclistas, en varias ocasiones se había quedado a dormir en establecimientos religiosos y le parecía buena opción. Alguien llamó por teléfono al centro budista para ver si había donde acampar por allí y si ponían pegas, y le dijeron que había un bosquecillo despejado de maleza adecuado para acampar y que estaban encantados de tener visitantes en las inmediaciones de la casa de retiro. Se buscaron en los mapas diferentes rutas para ir hasta el centro budista, por diferentes paisajes y con diversos grados de dificultad, pensando en que era mejor separarse en grupos para evitar susceptibilidades de gente de la zona con rechazo hacia la acampada libre. Los que tenían bicicleta eligieron rutas por carretera y pista, en particular Berta Prada eligió la ruta en bici más corta porque se sentía bastante vapuleada después de estar pedaleando dos días y se le notaba que caminaba con cierta rigidez. “No me había o había quedado tan mazada desde mis primeras salidas. Es lo que tiene ser una deportista cincuentona”, dijo.

Así que, tras un demoroso desayuno y recoger e las cosas, se dividieron en grupos y se dispersaron por los senderos y pistas de Malplena para, hacia las cuatro de la tarde, converger en el centro budista, en una colina retirada, entre arboleda dispersa, cuyo principal acceso era una pista de tierra y lejos de cualquier caserío. Los recibieron tres monjes rapados y algún usuario laico, cuyo grado de implicación en la casa era difícil de discernir. La casa de retiro estaba construida a partir de una antigua casa de campo restaurada a la que habían añadido unas alas y anexos en madera. Los encargados de la casa les dijeron que podían dejar bultos en un cobertizo.

Montaron el campamento e Íngrid se relajó encendiendo un cigarrillo. En seguida se le unieron Mafalda y Antía, sentándose en corro.

-Le pegaste el vicio a tu hermana ¿eh? – le dijo Íngrid a Antía. -¡Que va! La gente piensa eso pero fue al revés, fue ella la que empezó a fumar antes, con catorce años, yo empecé hace unos meses. -Antía no quería nada con el tabaco y me decía que tenía que dejarlo, pero la convencí de que lo probara y acabó gustándole. A veces fumaba conmigo y le gustaba pero se resistía a fumar. -No quería coger el vicio, pero... -No tienes nada de que avergonzarte, yo también se lo rico que es fumar ¿Como decir que no a esta satisfacción? -Si, con Mafalda fumé de vez en cuando, pero al estar con fumadores en el instituto empecé a fumar a diario.

Rebeca, Irene, Artemisa, Casia y Almudena se unieron al grupo. Rebeca había oído las últimas frases y le habían sorprendido.

-¿Empezaste a fumar por el ambiente del instituto? ¡Pero si en los institutos ya casi no hay fumadores! -En mi instituto si- afirmó Antía. -¿Cual es tu instituto?– preguntó Almudena. -El “Almudena Grandes” ¡Anda, tocaya tuya!

“Tenía que ser”, pensó Almudena, al saber que Antía y Rebeca iban al instituto de Naira, la hija de la estanquera Agata, que junto con sus amigas las hermanas Gutiérrez se dedicaban a animar a fumar a sus compañeros.

-¿Conocéis a Naira o las hermanas Gutiérrez?

-A Naira no, pero a Rosario y Sibila Gutiérrez si- dijo Antía.

-Mi primer pitillo lo fumé con Sibila, es muy simpática- explicó Mafalda- No me gustó mucho pero fue interesante, Sibila me explicó como hacer para no toser mucho y me fue bastante bien. Otro día me invitó de nuevo y ya me empezó a gustar. Desde entonces fumaba de vez en cuando y me encantó. Cuando podía me hacía con una cajetilla.

-Una vez mis padres encontraron un paquete de tabaco en nuestro cuarto ¡Y me echaron la culpa a mi!-explicó Antía- Ni se les pasó por la cabeza que Mafaldita pudiera fumar. Me llevé yo la bronca. En una fiesta familiar le cogió un cigarrillo a un tío, se lo encendió y se puso a fumar delante de todo el mundo... y ni por esas, pensaban que era una travesura y seguían sin pensar que Mafalda pudiera ser fumadora.

-Si- confirmó Mafalda sonriendo al recordar la situación- ya hacía tiempo que fumaba a diario y me estaba muriendo por un pitillo, así que me encendí ese cigarrillo y que pasara lo que tuviera que pasar ¿Y tu, Irene? ¿Como empezaste?

A Mafalda le llamaba la atención que una joven tan centrada e intelectual como Irene fumara. Esta contó al grupo la historia que Almudena ya conocía, de como su tía Circe, descontenta con su rechazo al tabaco, le había hecho fumar cinco cigarrillos para que conociera lo que era el tabaco, con lo que Irene había aprendido la técnica de fumar, se había familiarizado con las sensaciones físicas de la inhalación de humo de tabaco y dejó se percibir el fumar como algo completamente ajeno. Circe le facilitaba el acceso a los cigarrillos con lo que la curiosidad le llevó a repetir la experiencia y adquirir gusto por fumar, empezando a hacerlo esporádicamente, hasta que en el primer curso de la universidad y con la influencia de una relación amorosa se convirtió en una adicción diaria que le resultaba más satisfactoria que problemática.

A las fumadoras del grupo les gustó la historia del grupo e incluso Rebeca y Casia la encontraron interesante, una explicación de como se podía coger un vicio que no tenían la menor intención de adquirir.

-¿Y como empezaste tu a fumar, Íngrid?– le preguntó Almudena a su amiga- La primera vez que te vi fumar fue en la fiesta de fin de curso de segundo de bachillerato, pero no debía ser la primera vez.

-No, en realidad empecé con catorce años- explicó Íngrid para sorpresa de Almudena y Rebeca.

Íngrid se dispuso a contar su historia y encendió un cigarrillo, lo que no tardaron en imitar Antía y Mafalda. A Artemisa le sugestionó el ambiente tabaquista, salió corriendo y al poco volvió con un cigarrillo electrónico de aspecto bastante parecido a los cigarrillos de verdad, pero algo más grande. “Es sin nicotina. Es divertido fumarlo”, explicó antes de ponerse a vapear con cierta teatralidad mientras Íngrid narraba sus primeras experiencias con el tabaco.

CONTINUARÁ.

Se pueden ver los capítulos anteriores en https://es.scribd.com/document/461561444/El-mundo-del-sabor-Almudena-descubre-el-encanto-de-fumar

Si quieres hacer algún comentario al autor de este relato, escribe a sigfrido@gmx.es.

 
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from Capnolagnia

En la entrada de la wikipedia sobre capnolagnia, se dice que en las fantasías y ficciones de este fetichismo la #fumadora se describe como una mujer dulce. No estoy muy de acuerdo con esa afirmación. Si que es un tópico de los relatos de #capnolagnia (véase el amplio catálogo de relatos, en inglés, de http://smokingstories.net) el de la buena chica formal que descubre los placeres del tabaco, entiendo que porque resulta más atractiva la iniciación de una chica buena en un vicio que la convierte en una verdadera adulta (dicho esto desde una perspectiva fetichista) que el que coja el vicio una chica mala en la que este acto no resulta tan significativo. Luego la historia puede variar, puede ser que la buena chica fumadora siga siendo buena, o puede que se convierta en una chica más o menos mala, entendiendo esa conversión como una liberación de un marco restrictivo de normas de comportamiento o como una auténtica corrupción, que no es lo más frecuente en los cuentos fetichistas pero si hay algún relato en que se desarrolla ese tipo de trama.

Pero he de reconocer que si que suele existir cierto artificio en la descripción de las fumadoras en las historias de #fetichismo. En la vida real los fumadores, hombres y mujeres, tienden a ser irascibles. A veces ya tienen tendencia a la ira antes de ser fumadores (la gente problemática, los chicos malos del cole, suelen empezar a fumar), pero es que además la adicción a la nicotina produce irascibilidad cada vez que les baja el nivel de nicotina en sangre, mal humor del que suelen echar la culpa a cualquier persona o situación que se les cruce en ese momento, racionalizando su malestar, en vez de a su síndrome de abstinencia. Además muchos fumadores aprenden a sacar ganancia secundaria a esos momentos de mal humor, la agresividad de esos momentos les suele servir para ir conquistando posiciones de ventaja (conquistando espacios en que se les tolere el molestar fumando o en cuestiones ajenas al tabaco) a poco que las personas que les rodean hagan concesiones para evitar enfrentamientos con el fumador irascible, por lo que esas ganancias secundarias de la conducta mal humorada y agresiva le reafirman esa pauta de conducta.

En las ficciones fetichistas de fumadoras esos ciclos de irascibilidad no se producen, las #fumadoras son agradables, alegres y simpáticas sin que la cíclica caída de sus niveles de nicotina las ponga desagradables, como pasa con las fumadoras reales. Esa es una de las muchas ficciones habituales propias de los relatos de fetichismo de fumadoras que presenta un tabaquismo un tanto idealizado, diferente a como es en realidad.

#smokingfetish #sff #fetichismodefumadoras #rauchen #fumatrice #fumeuses

 
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from argeta

hopopop

plop

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  • dfg
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Dfgdf dfg dfgd dfgdf. Dsdfsdfs sdf sdf.

Ddfsd sdfsdf Sdf sdf sd sdfs

 
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from Blog de Patate

Suite du billet S'auto-publier : le fanzine (partie 1)

Imprimer et fabriquer soi-même

On attaque la partie la plus technique et un peu de matériel sera nécessaire.

Les pré-requis

Matériel :

  • Une imprimante capable de faire du recto-verso (le recto-verso manuel c’est faisable sinon)

  • Une agrafeuse à cheval (prévoir entre 150 et 200 balles) ou si c'est trop cher, une agrafeuse « bras long » (ça se trouve à 20-30 euros) qui est trop cool parce qu'elle a la profondeur nécessaire pour aller agrafer le milieu de feuilles posées à plat.

  • (optionnel) Des trucs lourds (grands et gros livres, ramettes de papier)

  • (optionnel aussi) Une cisaille, (entre 50 et 250 euros selon le nombre de feuilles que ça va être capable de couper) ou une éponge abrasive

Logiciel :


L'imposition

Il va s'agir de prendre les pages de votre document et de les disposer de sorte qu'elles soient dans le bon ordre une fois imprimées face à face sur des feuilles recto-verso pliées ensemble. Le terme “imposition” peut aussi concerner le fait de dupliquer des pages sur une même planche pour en faire des flyers une fois ces planches découpées.

On va utiliser des outils automatisés dans ce but, mais pour les plus curieux·ses, on va voir en détails quelle est la logique derrière.

La difficulté de l'imposition en brochure est que la première feuille va contenir à la fois les deux premières et les deux dernières pages du document. La seconde contiendra à la fois les deux suivantes et les deux avant-dernières. Etc. Prenez trois ou quatre petites feuilles, pliez-les ensemble, tournez les pages comme si elles étaient agrafées ensemble et numérotez-les dans l'ordre de lecture. Maintenant, éclatez, dépliez tout et regardez : c'est le bordel. Si on devait disposer les pages à la main sur un logiciel de PAO type InDesign ou Scribus, il faudrait créer un document dont le nombre de pages serait égal à la moitié du nombre de pages total de votre création, que ces planches soient orientées en paysage et au format supérieur (si vous avez créé en A5, disposez sur du A4, sur du A3 si vous avez créé en A4). Il vous faudrait ensuite les disposer en commençant par mettre la page 1 à droite de la première planche. Vous mettriez ensuite la page 2 à gauche de la deuxième planche, continueriez en zigzaguant ainsi jusqu'à la dernière planche, feriez demi-tour et rezigzagueriez en remontant. Pour une brochure de 8 pages format A5 fermé, A4 ouvert, vous obtiendriez ceci sur vos 4 planches A4 paysage :

Capture d'écran Scribus

Mais on ne va pas faire ça, c'est chiant. On va utiliser des scripts automatisés parce qu'on n'est pas venu·e·s là pour souffrir okay ?

  • Linux, texlive-extra-utils

capture d'écran du Terminal Gnome affichant la commande pdfbook2 et son résultat

Naviguez dans vos dossiers jusqu'à celui contenant votre PDF original, clic-droit sur un espace vide de la fenêtre de votre navigateur de fichiers, “Ouvrir dans un terminal” puis entrez cette commande :

pdfbook2 NomDeMonFanzine.pdf --paper=a4paper --short-edge --no-crop

Vous aurez un nouveau PDF dans votre répertoire, et il sera prêt à imprimer.

  • Windows, Simple Imposition

capture d'écran du logiciel Simple Imposition

Indiquez au logiciel l'emplacement de votre PDF original, cochez “booklet printing”, cliquez sur “Action!” Vous aurez un nouveau PDF dans votre répertoire, et il sera prêt à imprimer.

  • macOS, BookletCreator

capture d'écran du logiciel BookletCreator

Indiquez au logiciel l'emplacement de votre PDF original, cochez la première case “Auto paper size”, indiquez que vous voulez traiter toutes les pages et ne cochez rien du reste. Cliquez sur “Create Booklet”.


L'impression

Vous allez ouvrir le PDF imposé et l'imprimer en recto-verso.

C'est l'étape où vous me verrez navré d'annoncer qu'il n'est pas possible de vous donner d'instructions précises. Je ne sais pas quelle imprimante vous avez, si elle peut faire du recto-verso, si malgré l'absence de recto-verso elle propose quand même dans ses pilotes de faire du recto-verso manuel, il va vous falloir regarder dans ses réglages d'impression, faire des essais, expérimenter.

gif animé de Leslie Nielsen dans Y a-t-il un pilote dans l'avion, I want to tell you both good luck, we're all counting on you


La finition

Votre fanzine est imprimé en 50 exemplaires, c'est tellement beau que vous avez relu, trouvé trois fautes d'orthographe et une typo, ragé et insulté un dieu quelconque ou l'air de votre appartement. Ça veut dire qu'on peut passer à l'étape suivante.

Maintenant, il faut que les pages tiennent ensemble.

Pliez votre exemplaire, les feuilles les unes dans les autres. Si vous avez une agrafeuse à cheval, cela vous permettra de positionner votre document sur l'appareil, et si vous avez une agrafeuse bras long ça vous permettra, une fois le document remis à plat, d'avoir visuellement un repère des endroits où agrafer.

Agrafez. Chkloc ! Chkloc ! Mettez deux agrafes, au milieu évidemment. Espacez-les de sorte qu'elles ne soient ni trop près des bords de la feuille, ni trop proches l'une de l'autre.

La couture est aussi une option si on ne veut ou ne peut pas agrafer.

Voilà, vous avez votre fanzine. Mais y a deux petits trucs qui clochent. D'abord ça :

photo vue de côté d'une brochure pliée et agrafée dont le volume de papier exerce une force et soulève les feuilles qui ont du mal à rester à plat

C'est volumineux, ça ne tient pas très bien à plat voire ça a tendance à s'ouvrir tout seul. Dans l'absolu on peut l'ignorer. Mais si vous sentez que l'esthétique vous dérange, ou si vous sentez venir le problème de manipulation et de stockage de plusieurs dizaines d'exemplaires ainsi boursouflés, on ne pourra pas y remédier, mais on pourra l'atténuer. L'astuce, c'est de prendre quelques exemplaires, entre 2 et 5 selon l'épaisseur de chacun, et de leur faire passer la nuit empilés sous des poids qui couvrent entièrement leur surface (mettez des trucs bien lourds hein, genre plusieurs ramettes de papier, dicos/encyclopédies, l'humour de votre oncle). Pensez à les poser sur une surface bien lisse d'abord, pour ne pas qu'un malencontreux relief bousille les premières pages de l'exemplaire du dessous.

Ensuite, y a ça :

photo de l’extrémité de la brochure où on s'aperçoit que les feuilles, une fois pliées et agrafées, ne sont plus alignées et dépassent les unes des autre

Ça non plus ce n'est pas grave du tout, on peut hausser les épaules d'un air dédaigneux. Mais bon, ça peut enlever un certain confort pour feuilleter et puis ce n'est pas très joli. Si vous voulez vous y attaquer, il va falloir rogner.

La même photo que précédemment mais avec un pointillage montrant la partie à rogner pour avoir un rendu lisse

Trois options s'offrent à vous :

  • Le massicot. Grosso merdo entre 250 et 10.000 balles des premiers modèles manuels qui coupent 50 feuilles max aux gros machins électriques à presse qui n'ont pas peur des ramettes de papier 350 g/m². Je suggère qu'on oublie.

  • La cisaille. C'est comme les gros massicots, plus c'est capable d'enquiller des feuilles, plus c'est cher. Votre fanzine, s'il fait 20 pages, va vous faire imprimer 5 feuilles, mais une fois pliées en deux vous allez vous retrouver avec l'équivalent de 10 feuilles à couper d'un coup. Une cisaille pour 10 feuilles, c'est 50 euros. Une cisaille pour 35 feuilles, c'est 250. La méthode est simple : vous soulevez la lame à fond, vous glissez votre fanzine sous la plaque en ne faisant dépasser que de très peu, et vous y allez, vous coupez ce qui dépasse. Pas d'un coup sec parce que c'est n'importe quoi, pas trop mollement non plus parce que ça va vous demander au final trop de force, mais vous y allez, avec fermeté et détermination. Et voilà, la tranche est bien lisse, bien plate, on peut feuilleter avec le pouce avec autant de fluidité que n'en incarne une sauce à la crème (c'est tout ce que j'ai trouvé comme comparatif, en même temps je viens de manger aussi).

  • Une éponge abrasive et de quoi serrer (étau, planches). Vous calez plusieurs exemplaires de votre livret à la même hauteur, vous les serrez bien à hauteur des petites feuilles qui dépassent, et vous poncez. Le rendu sera différent d'avec la méthode de la cisaille, mais ça fera le taf tout aussi bien, avec ce petit cachet de la fabrication manuelle (illustrations et détails sur le blog de Libon et son dernier billet d'une série de quatre sur la fabrication maison de cahiers).

Vous avez fait un fanzine !


Je pense avoir fait le tour de tout le processus, mais il est possible que vous vous retrouviez face à des questions que je n'ai pas anticipées, ou qui font suite à des explications peu claires de ma part. N'hésitez franchement pas à venir me demander sur Mastodon ou à m'envoyer un mail sur blogdepatate arobase laposte point net. Si j'ai un petit flot de questions je ferai sûrement un billet de blog complémentaire sous la forme d'un F.A.Q.

 
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